Campagne Centraide 2009-2010 Malgré un contexte difficile, la 28e campagne de financement de Centraide a fracassé des records tant au niveau régional qu’à l’échelle de la Vallée de la Matapédia. Mercredi dernier, le directeur général de Centraide Bas-Saint-Laurent, Michel Daigle, et le président du conseil d’administration de l’organisme, Camille Saint-Onge, étaient de passage à Amqui pour présenter les résultats de la campagne. En compagnie des coprésidents de la campagne locale, André et Nadia Fournier, ils ont procédé au dévoilement de montants exceptionnels. Au niveau de tout le Bas-Saint-Laurent, Centraide a amassé 700 733 $, soit près de 61 000 $ de plus que l’objectif recherché. Dans la Matapédia, on a atteint 142 % de l’objectif en récoltant la somme record de 59 338 $. L’année dernière, la générosité de la population matapédienne avait permis d’accumuler environ 52 000 $. La récente campagne de financement a donc permis de faire un bond en avant considérable. « L’entraide n’a pas été mise en chômage » En réaction à ces montants, Michel Daigle et Camille Saint-Onge ont tenu à souligner la grande générosité des gens, qui ont très bien répondu à leur appel. « L’entraide n’a pas été mise en chômage et la générosité n’a pas subi la récession » a lancé monsieur Daigle, visiblement très fier que la campagne ait porté fruit à ce point. Les coprésidents de la campagne locale étaient eux aussi très satisfaits du résultat. « Je suis fière de la contribution des Matapédiens et je les en remercie » a mentionné Nadia Fournier. En plus de la sollicitation plus conventionnelle, la campagne a aussi profité d’un partenariat établi par les coprésidents. En effet, on a procédé à la vente de bouteilles de vin du vignoble Carpinteri de Saint-Ulric, vente de laquelle on retirait un bon pourcentage. On a ainsi amassé plus de 5 000 $ et il n’est pas impossible que la formule soit reprise lors de la prochaine campagne. La prochaine opération de financement de Centraide dans la Matapédia sera par ailleurs présidée par la mairesse de Sayabec, Danielle Marcoux.

Source: L'Avant-Poste 24 février 2010